Motivators and Barriers to Living Donor Kidney Transplant as Perceived by Past and Potential Donors

Can J Kidney Health Dis. 2022 Nov 19:9:20543581221137179. doi: 10.1177/20543581221137179. eCollection 2022.

Abstract

Background: For patients with end-stage kidney disease, living donor kidney transplant is the treatment of choice due to improved patient outcomes, longer graft survival, and reduced expenses compared with other forms of renal replacement therapy. However, organ shortage remains a challenge, and living donation rates have stagnated in recent years, particularly among men.

Objective: To understand the motivators and barriers for past and potential living kidney transplant donors and inform policy and practice changes that support donors in the future.

Methods: Past and potential living donors in British Columbia, Canada in the preceding 2 years were surveyed. Motivators and barriers were examined in 5 categories: family pressures and domestic responsibilities, finances, the recovery process, complications, and the transplant evaluation process. Participants ranked statements in each category on a Likert-type scale.

Results: A total of 138 responses were collected. In both women and men, policies that address family and domestic responsibilities and finances were most strongly identified as motivators to donate. A large proportion of women and men reported that guaranteed job security (47% women and 38% of men), paid time off (51% of women and 42% of men), reimbursement of lost wages (49% of women and 38% of men), and protections to guarantee no impact on future insurability (62% of women and 52% of men) were significant motivators to donate. Timely and efficient medical evaluation was considered to be an important motivator for donation, with 52% of men and 43% of women reporting support for a "fast-track" option for evaluation to allow for a more rapid evaluation process. Median barrier and motivator scores were similar between women and men.

Conclusion: Policies to decrease financial burden, ensure job security, improve childcare support, and offer a fast-track medical evaluation may motivate potential living kidney donors, irrespective of gender.

Contexte: La transplantation rénale avec donneur vivant est le traitement de choix pour les patients atteints d’insuffisance rénale terminale, car elle améliore les résultats de santé du patient, prolonge la survie du greffon et réduit les dépenses de santé comparativement à d’autres formes de thérapie de remplacement rénal. Cependant, la pénurie d’organes demeure un défi et les taux de dons vivants, particulièrement chez les hommes, ont stagné dans les dernières années.

Objectifs: Comprendre ce qui motive les donneurs vivants d’un rein passés et potentiels, et connaître les obstacles qu’ils rencontrent. Informer les changements de politiques et de pratiques pour soutenir les donneurs dans l’avenir.

Méthodologie: Un sondage mené auprès de personnes enregistrées en Colombie-Britannique (Canada) comme donneurs vivants passés et potentiels au cours des deux années précédant l’étude. Les facteurs de motivation et les obstacles ont été examinés selon cinq catégories: les pressions familiales et les responsabilités domestiques, les finances, le processus de rétablissement, les complications et le processus d’évaluation de la transplantation. Les participants devaient classer des énoncés dans chaque catégorie sur une échelle de Likert.

Résultats: En tout, 138 réponses ont été recueillies. L’aspect financier et les politiques traitant des responsabilités familiales et domestiques ont été les éléments les plus fortement cités comme facteurs de motivation à donner, tant chez les femmes que chez les hommes. Une grande proportion de femmes et d’hommes ont déclaré que la sécurité d’emploi (F: 47 %; H: 38 %), les congés payés (F: 51 %; H: 42 %), le remboursement des pertes de salaire (F: 49 %; H: 38 %) et les protections visant à ne garantir aucun impact sur l’assurabilité future (F: 62 %; H: 52 %) étaient d’importants facteurs de motivation à donner. Une évaluation médicale rapide et efficace a également été considérée comme un important facteur de motivation au don, 52 % des hommes et 43 % des femmes ayant déclaré être en faveur d’une option « rapide » qui permettrait d’accélérer le processus d’évaluation. Les scores médians obtenus pour les défis et facteurs de motivation étaient semblables pour les femmes et les hommes.

Conclusion: Les politiques visant à réduire le fardeau financier, à assurer la sécurité d’emploi, à bonifier le soutien pour la garde des enfants et à accélérer l’évaluation médicale sont susceptibles de motiver les potentiels donneurs vivants d’un rein, quel que soit leur sexe.

Keywords: barriers; donors; kidney transplant; motivators.